
La photo, c'est moi. Pour que vous me connaissiez un peu mieux.
Donc, sur le même canevas, vous avez vu ma première version , "Quatorze ans", puis la version définitive de "L'été de Charly", celle à laquelle l'ami Paul Antolini s'est arrêté après de nombreuses retouches au fil de nos échanges d'idées. Je vais maintenant vous proposer en deux épisodes "Libération", une autre version de la même histoire que j'ai eu envie d'écrire à mon tour après tout le reste.
Donc, sur le même canevas, vous avez vu ma première version , "Quatorze ans", puis la version définitive de "L'été de Charly", celle à laquelle l'ami Paul Antolini s'est arrêté après de nombreuses retouches au fil de nos échanges d'idées. Je vais maintenant vous proposer en deux épisodes "Libération", une autre version de la même histoire que j'ai eu envie d'écrire à mon tour après tout le reste.
Pourquoi trois versions de la même histoire ? C'est que nous écrivons pour le plaisir, et que c'en est un de broder différemment sur le même canevas. Il y a ce qu'on décide de dire, ce qu'on décide de suggérer seulement, ce dont on n'a pas envie de parler. On choisit un ton, un style, une situation dans laquelle un narrateur supposé pourrait raconter l'histoire. Certains appellent ça des exercices de style. Il me semble qu'il y a un peu plus que cela. Entrer dans la.peau d'un narrateur, c'est un peu comme jouer un rôle dans un film dont on aurait écrit les dialogues. Pour nous, c'était un vrai plaisir. Pour vous aussi, j'espère.
Et si ça vous donne des démangeaisons d'écrire à votre tour, vous avez mon adresse. Si vous êtes dans le ton que je voudrais conserver à ce blog, j'y publierai votre texte et vos illustrations si vous en proposez. Si je ne le publie pas, je vous promets de vous répondre pour vous l'expliquer.
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