samedi 6 février 2010

Ce qui va sans dire ...

Naturellement, dans le conte que je viens de publier, l'introduction en italique est tout aussi fictive que le reste et c'est, comme eût dit la Comtesse, le tout de mon cru.
Ce conte païen m'a été inspiré par la piété du malheureux peuple haïtien, dont les JT nous ont abondamment montré les images, après un séisme qui, selon les dernières estimations, aurait fait 212 000 morts.
Manifestement, deux siècles après Toussaint Louverture, ces pauvres gens ne se sont pas encore affranchis de tous les conditionnements de l'esclavage.
J'en demande pardon à ceux que ce propos pourra choquer : on est choqué par ce qu'on peut.

2 commentaires:

Anonyme a dit…

On attend une suite avec impatience

Unknown a dit…

A quand une suite