
Un jour, l'ami Paul m'a envoyé le canevas d'une nouvelle en me demandant ce que je pourrais en faire.
Le canevas, en résumé, c'était ça. Un garçon de quatorze ans meurt d'envie de voir des filles nues. Invité à passer ses vacances chez ses grands parents, qui ont une piscine, avec ses quatre cousines (17, 14, 12 et 8 ans) il ne résiste pas à l'envie de regarder par le trou de la serrure dans le vestiaire- salle de bain où les trois plus grandes se changent. La petite, elle, se change sans se cacher au bord de la piscine. Mais l'aînée le surprend. Les filles lui disent que sa punition sera de leur faire un bisou à chacune, mais c'est un piège : alors qu'il pense s'en être tiré à bon compte, elles lui enlèvent son maillot. Le garçon est mort de honte mais le lendemain elles avouent qu'elles n'ont pas été sympa avec lui. Dans le vestiaire, l'aînée ôte son soutien-gorge devant lui et l'invite à lui retirer lui-même son slip. Puis les deux autres à leur tour ôtent leurs maillots et l'invitent à en faire autant. Par la suite elles et lui prennent l'habitude de se changer ensemble.
Voici la première nouvelle que j'en ai tirée.
Je suis bien avec Magali.
Il y a quoi … deux mois qu'on sort ensemble mais c'est la première fois que, sa coloc étant absente, on a une nuit entière à nous et l'appart pour nous tout seuls au réveil. Pour l'instant elle dort encore, à plat ventre, un bras jeté sur l'oreiller encadrant son profil, ses épaules nues émergeant de la couette. Qu'est-ce qu'elle prend le matin ? Ah oui, elle me l'a dit par hasard l'autre jour : tout de suite un jus d'orange, après, ça dépend.
Aller au frigo, m'en servir un pour me rafraîchir la bouche, en rapporter un verre pour elle et attendre qu'elle se réveille en la regardant dormir. Après…
Mais quand je reviens, le verre à la main, je la trouve assise dans le lit, la couette remontée sous les bras. Dommage, elle a de si jolis seins. C'est drôle comme la plupart des filles se libèrent complètement de leur pudeur pour faire l'amour mais la retrouvent très vite après…Elle me regarde en souriant. Je lui tends son verre en m'asseyant sur le lit.
- Tu t'es souvenu ? Tu es chou !
Elle tout bu d'un trait, tenant la couette de sa main libre pendant que je caressais ses cheveux, elle a posé le verre par terre puis elle m'a attiré contre elle pour m'embrasser et …
- On va se faire un petit déj ? propose-t-elle beaucoup plus tard avec un mouvement pour se lever.
Son regard cherche quelque chose dans la chambre. Un vêtement, bien sûr. Je la retiens par ses deux mains.
- Tu veux me faire plaisir ?
- Oui, quoi ?
- Reste toute nue ! Tu es trop belle, c'est un crime de cacher tout ça !
Elle sourit en rougissant.
- J'ai pas l'habitude ! Et puis moi je me trouve pas belle !...
- Ça, c'est moi qui décide et je te garantis qu'il n'y a rien à jeter. Allez, c'est un prétexte : moi non plus je me trouve pas spécialement beau et c'est pas pour ça que ça va me gêner de rester tout nu … à moins que ça te plaise pas !
- Ça j'avais remarqué et … honnêtement … ça me plairait plutôt. Puis j'ai aussi remarqué que t'as pas de marque maillot. Moi, j'ai beau avoir perdu mon bronzage de l'été dernier, j'ai encore des marques. Tu serais pas un peu naturiste des fois ?
- Naturiste et amoureux de toi. Ça me fait deux raisons pour pas avoir envie que tu te rhabilles.
Elle réfléchit.
- C'est vrai qu'entre nous … on n'a plus rien à se cacher, c'est juste un réflexe un peu bête, j'avoue. Mais avec les autres … Tu vas me dire l'habitude, mais comment tu as commencé ? Tu as été élevé comme ça ?
- Pas vraiment. Par exemple j'ai jamais vu mes parents tout nus.
- Alors ça a pas dû être facile. Moi je crois pas que je pourrais. Déjà rien qu'avec toi ... Et puis allez : c'est d'accord pour le petit déj tout nus mais tu me racontes ta première fois. Et tu me regardes pas. Enfin … pas trop !
Elle m'embrasse sur le nez, me décoche un grand sourire et s'en va vers la cuisine en balançant exagérément les hanches. Je la rattrape en riant :
- Arrête de faire l'andouille ! Oublie juste que tu es toute nue.
Elle m'embrasse.
- O.K. Mais raconte !
- Ben … C'était avec mes cousines, en vacances chez nos grands-parents quand j'avais quatorze ans. Il y avait une piscine. On a commencé par pas se cacher pour se changer, et on a fini tout nus dans la piscine.
- Comme ça ? Tout simplement ? A quatorze ans ? Et quel âge les cousines ?
- Dix-sept, quatorze, douze et huit ans à l'époque.
- Et tu voudrais me faire croire que ça s'est fait tout seul ? Justement j'ai un petit frère de quatorze ans, moi. Quand il était petit il voulait toujours prendre son bain avec moi. Mais vers cinq six ans il a commencé à plus vouloir qu'on le voie tout nu. C'est drôle, c'est lui qui n'a plus voulu. Moi qui en avais dix ou onze, je me cachais déjà de mes parents mais avec lui à l'époque ça me gênait pas. Et maintenant, je te jure que la porte de la salle de bains il la ferme à clé. Moi aussi d'ailleurs. Alors me dis pas que c'est venu tout seul, raconte pour de bon. Je veux des détails. Et attention ! Si tu triches je me rhabille !
- Bon, ai-je admis. C'est vrai que j'ai un peu triché. J'ai pas menti mais j'ai … un peu trop résumé ! Pour tout te dire, cette année-là, pour moi, l'envie de voir une fille toute nue c'était devenu une obsession. Une vraie, une grande, avec des seins et des poils. Les petites, je connaissais. En vacances chez les grands parents, quand on était petits, avec les cousines on se baignait pas tout nus mais on se changeait au bord de la piscine sans faire d'histoires. Puis, à dix ans Nathalie, l'aînée, a commencé à disparaître, après la dernière baignade, dans l'espèce de vestiaire où on avait le droit d'entrer avec les maillots mouillés, pour en ressortir en pyjama. Quand, trois ans plus tard, Hélène l'y a rejointe, Clara l'a suivie pour faire comme les grandes. Moi, continuer à me changer devant la petite Lilou ça me gênait pas, mais j'ai pensé que, puisque j'avais le même âge qu'Hélène, les filles allaient me prendre pour un bébé si je ne me faisais pas comme elles. À partir de là ça a été un rituel. Le matin on laissait nos pyjamas au vestiaire et le soir, quand notre grand-mère nous disait de sortir de l'eau, les filles allaient se changer les premières et j'attendais sagement mon tour. Pendant ce temps Lilou ôtait son maillot sur le bord de la piscine et courait toute nue dans sa chambre où elle avait laissé son pyjama. Elle avait quatre ans et ça faisait rire Mamie. Mais le pli étant pris, à huit ans, l'année de mes quatorze, elle continuait sans complexe.
Moi mes poils avaient poussé, mon sexe avait commencé à grossir, au collège même entre garçons on se cachait pour se changer dans les vestiaires de la piscine municipale, alors avec des filles tu penses ! Mais on crevait tous d'envie de les voir nues. Il y avait des photos qui circulaient où on voyait tout bien. Mais ce n'était que du papier. On s'inventait des scénarios pour essayer de glisser un œil dans leurs vestiaires sans avoir l'air de le faire exprès. Et ça ne marchait jamais. Je suis arrivé en vacances en me disant que là, quand même, il devrait bien y avoir moyen.
- Vicieux !
- Mais non pas vicieux ! Juste curieux ! Quand j'y repense je trouve ça plutôt normal. Je ne pensais pas à mal, mes cousines c'était comme des sœurs, juste j'avais une énorme envie de voir en vrai ce qu'elles prenaient tant de soin de cacher. Ton petit frère, tu sais, il se cache mais je suis sûr qu'il voudrait bien te voir lui aussi. C'est normal. Toi, franchement, à son âge t'avais pas envie de voir un mec ?
- Ben …
- Tu vois ! Enfin bon. J'ai commencé par rôder autour de la porte du vestiaire, sous prétexte d'attendre mon tour. Puis un jour, ça devait être le troisième ou le quatrième, j'ai essayé de regarder par la serrure. Et pendant que j'insistais parce que je ne voyais rien, Nathalie est arrivée derrière moi …
- Aïe la honte !
- Tu l'as dit ! "Alors, on veut s'instruire ?", elle a sussuré en me prenant fermement par le bras. Et elle a continué à travers la porte : "Les filles, il y a Benji qui voudrait entrer, il peut ?" Elles ont répondu oui tout de suite : en fait elles étaient déjà en pyjama. Nathalie m'a poussé à l'intérieur et a dit en fermant la porte à clé : "Ce jeune garçon avait envie de nous voir nues, semble-t-il. Qu'est-ce qu'on en fait ? On le défère devant le tribunal des parents, ou on règle ça entre nous ?" J'ai balbutié, mort de honte : "Entre nous, s'il vous plaît, soyez pas vaches ! Je vous jure de pas recommencer !"
Elles se sont concertées un moment à voix basse, puis Nathalie a prononcé le verdict : "Tu nous demandes pardon et tu nous fais la bise. À chacune, en commençant par la plus jeune." Tandis que je respirais, éperdu de reconnaissance pour tant de mansuétude, elles se sont alignées en face de moi, Nathalie que je devais embrasser la dernière au milieu. J'ai embrassé comme du bon pain Hélène qui était de ma taille et Clara qui n'en était pas loin. Nathalie était nettement plus grande que moi. En même temps qu'elle se penchait pour me tendre sa joue, en une seconde elle a brusquement descendu mon slip de bain et pendant que ses sœurs me tenaient par les bras elle a achevé de me le retirer en disant : "Les filles aussi sont curieuses ! Elles ont le droit, non ?" Et tandis que je reculais dans le coin de la pièce, plié en deux pour dissimuler mon intimité, elles sont sorties en riant, emportant à la fois mon maillot et mon pyjama.
Magali applaudit en riant elle aussi :
- Dur dur ! Mais avoue que tu l'avais pas volé ! Et comment tu t'en es sorti ?
- Sortir, c'était bien la question ! J'ai passé un sale moment. Coincé tout nu dans ce vestiaire, j'avais beau être seul il me semblait que le monde entier me voyait. L'humiliation ! En fait peut-être plus d'avoir été piégé et ridiculisé que d'avoir été vu quelques secondes tout nu. Mais à mes yeux, sur le moment c'est ma pudeur offensée qui justifiait ma honte. Pas question donc de sortir tout nu. Alors que je désespérais de trouver la solution, j'ai entendu gratter à la porte. Je me suis collé contre le mur pour qu'elle me cache quand on l'ouvrirait et j'ai dit péniblement :"Oui?". Et c'est Lilou qui m'a répondu, adorable : "Les grandes m'ont donné ton pyjama pour que je te l'apporte. Mais t'en fais pas, je le dirai à personne et si tu as pas envie que je te voie tout nu je te regarderai pas. Elles sont bêtes, moi je m'en fiche."
J'avais un peu peur du dîner, mais les filles se sont conduites absolument comme s'il ne s'était rien passé. Mieux, comme je les regardais sans doute d'un œil mauvais, Hélène m'a glissé à l'oreille :"Si tu veux pas que Mamie te demande ce que tu as, évite de faire la gueule !" Et toute la journée du lendemain pas la moindre allusion. Mais entre elles, dans leur chambre, elles avaient dû en parler car le soir en quittant la piscine Nathalie m'a dit : "Viens !" Et comme j'hésitais, redoutant un nouveau piège, elle a ajouté : "N'aie pas peur! Je te jure que tu ne le regretteras pas !" Quand nous sommes arrivés au vestiaire, où Hélène et Clara nous avaient précédés elle a repris : "On n'a pas été vraiment cool hier avec toi alors on a décidé de se faire pardonner." Au même moment, elles ont toutes les trois détaché leurs soutiens-gorge. Elles avaient les seins de leur âge : magnifiques chez Nathalie, de jolies poires chez Hélène, à peine marqués et tout pointus chez Clara. J'étais émerveillé. Rapidement elles ont croisé leurs bras et Nathalie a encore dit : "Retourne-toi !" J'ai obéi sans discuter et deux secondes plus tard elle reprenait : "Tu peux regarder !". Elles étaient nues. Toutes les trois. Complètement. J'en avais le souffle coupé. Je devais rester là, l'air idiot, la bouche ouverte et les yeux écarquillés devant la touffe rousse de Nathalie, celle d'Hélène, brune comme moi, les poils encore plutôt clairsemés de Clara quand c'est elle, la petite Clara, qui a dit en me souriant gentiment : "Maintenant à toi !"
J'étais bien embarrassé évidemment …
- D'autant plus que tu devais bander comme un petit âne, coupe Magali en pouffant.
- Eh bien non, figure-toi ! Ça m'étonne encore quand j'y pense mais je crois que, justement, l'émotion devait être trop forte. Heureusement. Mais quand même, je te l'ai dit, voir c'était une chose, être vu c'en était une autre. En même temps je sentais bien que refuser n'aurait pas été fair-play. Je me suis donc décidé. Nous sommes restés quelques secondes seulement à nous regarder, moins à l'aise qu'on n'aurait voulu en avoir l'air, et c'est Hélène qui a mis fin à notre embarras en disant : "On met nos pyjamas ?"
Cette fois encore, personne n'a fait allusion à cette scène jusqu'au lendemain soir, quand, quittant la piscine, Hélène m'a dit :"Tu peux venir avec nous tu sais !" Et cette fois elles se sont changées exactement comme si je n'étais pas là. Et j'ai fait comme elles, tout simplement, aussi heureux que surpris que ce soit aussi facile. C'était redevenu presque comme autrefois, je sais pas si tu peux imaginer. On pouvait se voir nus sans éprouver le besoin de se regarder. Et là c'est Lilou qui a observé quand nous sommes revenus : "Qu'est-ce que vous êtes bêtes tous les quatre ! À quoi ça sert d'aller vous cacher pour vous changer puisque vous y allez ensemble !" Nous nous sommes regardés, étonnés. "La vérité sort de la bouche des enfants" a finalement conclu Nathalie. "Logique, la naine !"
Et le lendemain, quand notre Mamie nous a demandé de sortir de l'eau, elle m'a dit, comme si cela allait de soi : " Benji, tu veux bien aller chercher les pyjamas ?" Ce jour-là et les suivants, sans aller jusqu'à courir comme elle tout nus vers la maison, nous avons repris l'habitude ancienne que Lilou n'avait jamais perdue de nous changer ensemble au bord de la piscine sans prendre soin de nous cacher. Puis c'est Nathalie encore qui d'abord, allongée dans l'herbe, a retiré son soutien-gorge pour faire bronzer ses seins et ne l'a pas remis pour revenir se baigner, imitée une heure plus tard par Clara puis, le lendemain seulement, par Hélène. Moi je m'émerveillais de les voir bouger dans la lumière les seins nus, aussi à l'aise que la petite Lilou, qui n'avait porté qu'une fois, juste pour le faire admirer, le minuscule soutien-gorge de son maillot tout neuf avant de l'abandonner définitivement.
L'étape suivante, ça a été vers la fin de la deuxième semaine. Ayant besoin de rentrer un moment dans la maison où les maillots mouillés étaient interdits, Carla a abandonné son slip au bord de la piscine pour le remplacer par une serviette. Mais quand elle est revenue, Lilou s'en était emparée et s'amusait à le faire tourner au-dessus de sa tête, refusant de le lui rendre. Au bout d'un moment Carla a dit : "Ah c'est comme ça ? Hé bien tu vas voir Lilou, je vais prendre le tien !" Et laissant tomber sa serviette elle a plongé toute nue à côté de la petite, qu'elle a eu vite fait de déculotter. D'autant que comme ça lui était bien égal elle riait plus qu'elle ne se défendait. Après quoi Carla a nagé jusqu'à l'autre bout de la piscine, pour récupérer son slip. Mais au moment de le remettre elle a soudain déclaré en le posant sur la margelle : "Et puis zut, après tout on est drôlement mieux sans !" "Oh oui alors !" a répondu en reposant le sien Lilou qui, debout sur la plage, s'apprêtait à le remettre. Sans rien dire, Nathalie a posé le sien, dont elle s'était débarrassée discrètement. Hélène et moi nous nous sommes regardés, nous nous sommes compris et, sans autre commentaire, avec un ensemble parfait nous avons fait comme les autres. Et voilà.
Mais à part Lilou on avait tous fait ça dans l'eau, où on a d'abord continué à jouer ensemble comme si de rien n'était. Puis, comme toujours, le jeu nous a conduits à nous poursuivre en courant autour de la piscine. Je crois que c'est Hélène qui est sortie la première et moi qui l'ai poursuivie. Hélène, la cousine de mon âge, c'était ma complice de toujours. Les poursuites, c'était surtout entre elle et moi. Carla a dû suivre et Lilou aussi, pour aider Hélène a me pousser à l'eau. On avait complètement oublié qu'on était nus. On se sentait comme d'habitude. Juste un peu plus libres. D'ailleurs Nathalie, qui était restée dans la piscine, n'a pas davantage éprouvé le besoin de remettre son maillot quand elle en est sortie pour aller s'étaler au soleil, dans l'herbe.
Quand nos grands parents sont sortis de la maison pour nous regarder jouer comme ils aimaient le faire, ils nous ont trouvés tout nus. Ce n'était pas dans leurs habitudes. Mais comme, à ce détail près, ils nous voyaient nous amuser exactement comme d'ordinaire, notre grand-père a juste dit : "Hé bien, je vois qu'on a laissé tomber les complexes ! Après tout pourquoi pas …" Et Mamie a plaisanté : "Les complexes ? C'est comme ça que tu appelles les maillots ? Regarde les ! On dirait qu'ils ont tous l'âge de Lilou !"
Ils ont quand même dû avoir un scrupule, car le soir ils nous ont dit : " On a eu vos parents au téléphone. Ils ont été un peu surpris mais … finalement ils ont dit que c'était votre problème et que s'il n'y en avait pas pour vous il n'y en avait pas pour eux. Les plus étonnés, c'était quand même les tiens Benji : ta mère n'en revenait pas."
Le reste des vacances, les maillots sont restés dans les placards, et les années suivantes aussi. Depuis, on s'est un peu dispersés. L'été on s'arrange toujours pour se retrouver quelques jours chez nos grands parents mais on ne passe plus toutes les vacances ensemble. L'année dernière je suis allé en Espagne. Là-bas presque toutes les plages sont libres. Dis tu y viendrais pas avec moi cette année ?
- Peut-être… Faudra que j'y réfléchisse, mais… On pourrait pas commencer chez tes grands-parents, avec tes cousines ? Euh… à moins que tu n'aies pas envie de me présenter à ta famille mais tu sais, ça t'engage à rien et…
C'était juste ça que j'avais le plus envie de lui demander.
Je suis bien avec Magali.
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